Pour accompagner le pâté aux prunes, véritable spécialité angevine, notre première idée se porte sur le « Pineau de la Loire » de la Famille Vaillant à Thouarcé. Ce vin blanc moelleux 2013, à base de Chenin (également nommé Pineau de la Loire) garde beaucoup de fraicheur et d’équilibre grâce à seulement 24 g/l de sucres résiduels (contre 34 minimum pour l’appellation Coteaux du Layon).
Sans aucune sensation de lourdeur, vos papilles n’en seront que satisfaites en fin de repas ou lors d’un goûter ensoleillé ! Sachez, au passage, que ce « Pineau de la Loire » est indemne de tout rajout de soufre, ce qui le rend encore plus digeste… Un vin à déguster frais mais surtout pas glacé, aux alentours de 8/10°, pour qu’il exprime tout son fruit.
Et si vous vous laissiez tenter par de fines bulles pour donner un peu de « peps » au pâté aux prunes ? Le « Saperlipopet » 2012 de Damien Bureau à Chanzeaux pourrait alors parfaitement convenir. Ce pétillant naturel, également élaboré avec du Chenin selon une méthode ancestrale, conserve, sur ce millésime, quelques sucres résiduels pour la gourmandise du moment. Il se caractérise surtout par son énergie et l’expression de ses arômes de fruits frais qui donnent de suite l’envie de se resservir !
L’hésitation est telle qu’il faudra certainement trouver deux belles occasions au mois d’août pour déguster le Pâté aux prunes avec chacune de ces deux suggestions et laisser vos papilles gustatives faire le meilleur choix… 😉